Du silence au mensonge,
récit initiatique retrouvé au fond d'une vieille malle scoute
par Yves Philippe de Francqueville,
pirate des mots et philanaliste en herbe…
Tous droits réservés ©®.
récit initiatique retrouvé au fond d'une vieille malle scoute
par Yves Philippe de Francqueville,
pirate des mots et philanaliste en herbe…
Tous droits réservés ©®.
Du silence au mensonge
Quelques documents d'archives…
Voici donc quelques lettres et photos d'archives pour compléter par l'image, le manuscrit « du silence au mensonge », retrouvé au fond d’une vieille malle scoute, et édité par Yves Philippe de Francqueville…
C'est un beau roman, c'est une belle histoire…
Toutes les pièces qui sont présentées dans ces archives donnent certainement un peu plus de force au texte que vous venez de lire. Il y a beaucoup de détails, d’explications, et pouvoir visualiser quelques espaces aide à donner au texte davantage de véracité.
Peut-être avez-vous même pensé parfois que c'était un récit ?
Peut-être avez-vous imaginé un instant que cette histoire était vraie ?
Oui ?
C'est peut-être une épopée racontée par l'auteur… qui aurait modifié quelques noms propres ou prénoms, et caché seulement les lieux où l’aventure fut vécue ?
Non, sérieusement ?
Nous ne sommes pas dans un monde aussi détestable !
Cela se saurait !
Et des adolescents en mal de vivre ?
Et des adultes détestables ?
Et des rêves de chevalerie ?
Et une justice inique ?
Tout cela est bien entendu très certainement inventé… c’est sûr, l’auteur de ce roman a fabriqué, créé de toute pièces… une histoire : son histoire…
Après tout, s’il y croit ?
Et vous ?
Votre liberté vous laisse le choix de poursuivre ou non la lecture de ces pages d’archives !
Rassurons-nous, c'était un rêve… un cauchemar… peut-être ?
Réveillons-nous alors !
Rien n'était donc vrai ! C'est certain !
Boris VIAN l’a écrit à sa manière dans son préambule de L’Écume des Jours :
« L’histoire est entièrement vraie,
puisque je l’ai imaginée d’un bout à l’autre ».
Tout est donc illusion ?
Oui, puisque c’est un récit issu de la mémoire d’un adolescent de dix-huit ans.
Et qu’est-ce que la mémoire humaine, si ce n’est une formidable capacité à transformer, et parfois modifier, tricher et falsifier ?
Hélas, que cela soit réalisé volontairement pour s’enrichir, ou pour éviter toute déconsidération, la pratique de l’autocensure est aussi courante.
Oui, pour écrire un roman, issu de l'imagination d'un adolescent en quête de fantastique, il faut trouver des fondements… au plus fort de la réalité de son passé, peut-être ?
Bon, tout ceci n'est donc certainement qu'une illusion, un rêve !
Arthur RIMBAUD écrivait que :
« L’on n’est pas sérieux quant on a dix-sept ans »…
Et à dix-huit ans ?
L'auteur de ce livre a essayé d'être sincère !
Enfin, il avait donné sa parole de gentilhomme : ne pas offrir ce récit au grand public, tant que son cher ami Yves de V** était encore de ce monde.
Yves est décédé en 199*…
Les jours passent, et cette histoire, quoique déjà bien ancienne, a toujours du sens aujourd'hui. L’offrir à la lecture à celles et ceux qui comprendront, est fort important pour son auteur.
Que personne ne s'inquiète ou se révolte !
Que les procédures ne soient pas déjà en cours.
Pas besoin de se lancer dans de nouveaux procès vis-à-vis de l’auteur !
Voici donc, pour vous permettre de juger par vous-même, l’histoire que vous venez de lire, quelques éléments visuels :
C'est un beau roman, c'est une belle histoire…
Toutes les pièces qui sont présentées dans ces archives donnent certainement un peu plus de force au texte que vous venez de lire. Il y a beaucoup de détails, d’explications, et pouvoir visualiser quelques espaces aide à donner au texte davantage de véracité.
Peut-être avez-vous même pensé parfois que c'était un récit ?
Peut-être avez-vous imaginé un instant que cette histoire était vraie ?
Oui ?
C'est peut-être une épopée racontée par l'auteur… qui aurait modifié quelques noms propres ou prénoms, et caché seulement les lieux où l’aventure fut vécue ?
Non, sérieusement ?
Nous ne sommes pas dans un monde aussi détestable !
Cela se saurait !
Et des adolescents en mal de vivre ?
Et des adultes détestables ?
Et des rêves de chevalerie ?
Et une justice inique ?
Tout cela est bien entendu très certainement inventé… c’est sûr, l’auteur de ce roman a fabriqué, créé de toute pièces… une histoire : son histoire…
Après tout, s’il y croit ?
Et vous ?
Votre liberté vous laisse le choix de poursuivre ou non la lecture de ces pages d’archives !
Rassurons-nous, c'était un rêve… un cauchemar… peut-être ?
Réveillons-nous alors !
Rien n'était donc vrai ! C'est certain !
Boris VIAN l’a écrit à sa manière dans son préambule de L’Écume des Jours :
« L’histoire est entièrement vraie,
puisque je l’ai imaginée d’un bout à l’autre ».
Tout est donc illusion ?
Oui, puisque c’est un récit issu de la mémoire d’un adolescent de dix-huit ans.
Et qu’est-ce que la mémoire humaine, si ce n’est une formidable capacité à transformer, et parfois modifier, tricher et falsifier ?
Hélas, que cela soit réalisé volontairement pour s’enrichir, ou pour éviter toute déconsidération, la pratique de l’autocensure est aussi courante.
Oui, pour écrire un roman, issu de l'imagination d'un adolescent en quête de fantastique, il faut trouver des fondements… au plus fort de la réalité de son passé, peut-être ?
Bon, tout ceci n'est donc certainement qu'une illusion, un rêve !
Arthur RIMBAUD écrivait que :
« L’on n’est pas sérieux quant on a dix-sept ans »…
Et à dix-huit ans ?
L'auteur de ce livre a essayé d'être sincère !
Enfin, il avait donné sa parole de gentilhomme : ne pas offrir ce récit au grand public, tant que son cher ami Yves de V** était encore de ce monde.
Yves est décédé en 199*…
Les jours passent, et cette histoire, quoique déjà bien ancienne, a toujours du sens aujourd'hui. L’offrir à la lecture à celles et ceux qui comprendront, est fort important pour son auteur.
Que personne ne s'inquiète ou se révolte !
Que les procédures ne soient pas déjà en cours.
Pas besoin de se lancer dans de nouveaux procès vis-à-vis de l’auteur !
Voici donc, pour vous permettre de juger par vous-même, l’histoire que vous venez de lire, quelques éléments visuels :
Voici les deux pages dactylo de la lettre de Yves de V, en réponse, après l'envoi du manuscrit…
Cette lettre est retranscrite intégralement dans le roman.
Cette lettre est retranscrite intégralement dans le roman.
* * *
Une copie de la lettre envoyée par Philippe de Bourlon, à Yves de V**, en accompagnement à la réponse… pour lui proposer d’arrêter de tricher et de rester dans cet univers de silence et de mensonge.
Préfaçant son désir d'entrer en Chevalerie !
Une Lettre choisie parmi la centaine récupérée lors d'une expédition nocturne à B**.
Cette lettre n'est pas retranscrite dans le roman.
Préfaçant son désir d'entrer en Chevalerie !
Une Lettre choisie parmi la centaine récupérée lors d'une expédition nocturne à B**.
Cette lettre n'est pas retranscrite dans le roman.
* * *
Quelques photos pour illustrer les ruines de la Commanderie… afin de situer l'histoire !
Visuel direct sur les sarcophages des moines templiers et regard sur leurs dépouilles… mises au grand jour !
La crypte, et un des parchemins… très ancien !
Regard sur les fresques avec les blasons dans la grande salle des gardes…
Des étendards, et la suite du parchemin ancien…
Des étendards, et la suite du parchemin ancien…
Visuel de la commanderie… un pierrier, et deux moines chevaliers… ou ce qu'il en reste !
Autre visuel de la salle des gardes et des ruines de la commanderie…
Un beau sarcophage… qui attend peut-être de dévoiler son mystère ?
Un beau sarcophage… qui attend peut-être de dévoiler son mystère ?
* * *
La page de garde du manuscrit tout juste achevé… envoyé à Yves de V**
Le plan dessiné, du jeu réalisé au Grand Cavalier de la citadelle de D**, dans le manuscrit retrouvé au fond d'une vieille malle scoute par Yves Philippe de Francqueville !
La croix templière autour du cou de Lemire… dans le manuscrit retrouvé au fond d'une vieille malle scoute par Yves Philippe de Francqueville !
Petit plan indicatif de la grande salle à vivre de la commanderie de B**… extraite du manuscrit retrouvé au fond d'une vieille malle scoute par Yves Philippe de Francqueville !
Dessin des armes gravées sur la chevalière de Jean-Claude :
"D"or à une aigle éployée de sable, béquée et membrée de gueules, prenant en ses serres des fleurs de lys de même et cantonnée de deux autres en pointe" dans le manuscrit retrouvé au fond d'une vieille malle scoute par Yves Philippe de Francqueville !
"D"or à une aigle éployée de sable, béquée et membrée de gueules, prenant en ses serres des fleurs de lys de même et cantonnée de deux autres en pointe" dans le manuscrit retrouvé au fond d'une vieille malle scoute par Yves Philippe de Francqueville !
La croix de promesse et le macaron de Page, dans la hiérarchie des Pages et Écuyers de l'Observance des Chevaliers du Christ… dans le manuscrit retrouvé au fond d'une vieille malle scoute par Yves Philippe de Francqueville !
Le salut aux couleurs, et le baussant en haut du mâts…
En transparence de la photocopie, nous pouvons voir une des épaulettes d'Écuyer Accompli ainsi que son macaron associé. Dans le manuscrit retrouvé au fond d'une vieille malle scoute par Yves Philippe de Francqueville !
Fin de la série d'archives proposées…
En transparence de la photocopie, nous pouvons voir une des épaulettes d'Écuyer Accompli ainsi que son macaron associé. Dans le manuscrit retrouvé au fond d'une vieille malle scoute par Yves Philippe de Francqueville !
Fin de la série d'archives proposées…
Dernière édition d'avril 2016.
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville
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