La gifle fuse sous le regard gêné du directeur qui baisse les yeux, laissant le surveillant général dans un désarroi total…
— Je suis encore désolé de ce dérangement, chère madame…
— Vous pourriez être plus attentif !
J’ai encore perdu une heure dans cette histoire ridicule !
Dépêche-toi donc, Paul…
Tu viens de déranger encore dix personnes pour des caprices d’enfant gâté !
Ce n’est pas bien.
Je vais finir par te mettre pensionnaire !
Et attrapant durement l’enfant par le bras — qui ajoute une grimace silencieuse à son visage déjà rougi par le coup, la honte et la peur, mère et fils quittent d’un pas rapide l’enceinte de l’établissement.
Une lumière s’éteint des yeux de Paul.
Il y a peu d’espoir de vivre sur cette Terre pour les génies du cœur…
— Je suis encore désolé de ce dérangement, chère madame…
— Vous pourriez être plus attentif !
J’ai encore perdu une heure dans cette histoire ridicule !
Dépêche-toi donc, Paul…
Tu viens de déranger encore dix personnes pour des caprices d’enfant gâté !
Ce n’est pas bien.
Je vais finir par te mettre pensionnaire !
Et attrapant durement l’enfant par le bras — qui ajoute une grimace silencieuse à son visage déjà rougi par le coup, la honte et la peur, mère et fils quittent d’un pas rapide l’enceinte de l’établissement.
Une lumière s’éteint des yeux de Paul.
Il y a peu d’espoir de vivre sur cette Terre pour les génies du cœur…
FIN de l’histoire du violon.
Yves Philippe de Francqueville ©
yvesdefrancqueville@yahoo.fr
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C'était Le violon, des nouveaux Contes de moelle, par Yves Philippe de francqueville, philanalyste et pirate des mots… Tous droits réservés ©.
Auteur : Yves Philippe de Francqueville